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Revue de presse : Correspondance #24

Photo du rédacteur: Rails & histoireRails & histoire

Rails & histoire vous propose ici de découvrir les nouveaux ouvrages reçus par l'association depuis la fin d'année dernière au titre de revue de presse.


Joël Brun. Le club de la Passerelle. Les Plantiers, Complices éditions, 2024, 332p.




Résumé :


« Un vent de panique souffle dans les cités. Oubliées les festivités nocturnes, la désinvolture, la bonne humeur et la joie communicative… « Le corps d’une jeune femme a été retrouvé dans la friche des ateliers AMC d’Herbet de Clermont-Ferrand. À partir de là, c’est toute la vie d’un quartier avec ses habitants ouvriers et cheminots pour la plupart, ses petits commerces, et sa jeunesse qui évoluent au fil des pages. Au cœur de ce microcosme, on s’attache à Simon, jeune homme sensible au parcours familial chaotique et témoin des évolutions de la société des années 50, 60 et 70.


Après avoir exploré le plateau de Gergovie sous la République romaine avec ses deux premiers romans, Joël Brun change de registre et d’époque avec une histoire humaine dépeinte en plusieurs tableaux colorés, mais tout en nuances …




 


Roger Colombier. Les chemins de fer en 1914-1918. Brissac Loire Aubrace, éditions du Petit Pâvé, 2024, 236p.



Résumé : Histoire militaire et technique, mais aussi humaine et sociale dans laquelle notamment les cheminots, femmes et hommes, furent engagés sous l'autorité de l'Armée pour défendre la patrie. Ce qui induira une syndicalisation accrue après-guerre chez les cheminots et leur grève générale de 1920.


Le 1er août 1914, contre l’Allemagne, la France mobilise près de 8 millions d’hommes, âgés de 20 à 48 ans, sur les 39 millions d’habitants que compte le pays.


Les chemins de fer vont jouer un rôle primordial durant la Première Guerre mondiale. Par le décret du 2 août 1914, ils relèvent « tout entier de l’Autorité militaire » avec des gares régulatrices, des gares de répartition et des stations-magasins dirigées par des militaires.


De 1914 à 1918, les chemins de fer ont transporté 1 604 067 tonnes de marchandises et évacué plus de 2 millions de blessés. S’ajoutent les milliers de convois militaires pour le front lors de la mobilisation générale et les renforts juste après. En quatre années de guerre, l’alimentation et l’entretien du soldat est passé de 8 à 12 kilos par jour, principalement transportés en chemin de fer.


Tout au long de la guerre, l’infanterie territoriale dont des gardes de voies et communication, les commis et ouvriers militaires d’administration, le régiment du 5e Génie, les sections des chemins de fer de campagne, des cheminots affectés à leur poste de travail, mais aussi des femmes et des travailleurs des colonies ou étrangers, vont œuvrer pour « le service des chemins de fer ». Britanniques et Américains vont aussi participer à l’organisation ferroviaire militaire des transports militaires.


Débutée en chemin de fer, la Grande Guerre se termine dans le wagon de Rethondes, le 11 novembre 1918.


Mais l’histoire des chemins de fer durant la Première Guerre mondiale est méconnue.



 

A paraître :


Didier Janssoone, 100 ans de signalisation ferroviaire lumineuse française, LR presse, 2025, 272p.



La SNCF vient de célébrer le centenaire de sa signalisation lumineuse ! Quelle est son histoire ? Quelle est sa philosophie ? Comment fonctionne-t-elle ? Autant de questions auxquelles les 272 pages et les 650 illustrations de cet ouvrage apporteront à tous – cheminots, étudiants de la filière ferroviaire, modélistes et passionnés – des réponses précises s’appuyant sur une iconographie riche et de nombreux schémas.


En souscription jusqu'en mars, rendez-vous sur le site de LR Presse ou téléchargez le bon de souscription ci-dessous.





 

A l'occasion de cette nouvelle année, nous vous proposons un rapide rappel des ouvrages ayant déjà fait l'objet d'une revue de presse ces deux dernières années - pour accéder au site publiant l'ouvrage ou pour contacter son auteur(e), cliquez sur les images des ouvrages :


CASI Cheminots PACA (collectif). Les saigneurs du rail. Révolte express. Et si demain...

Bande-dessinée en trois tomes, 2022.

Ces trois tomes de bande-dessinée ont été écrites par le CASI Cheminots PACA (Comité Activités Sociales Interentreprises), qui gère les activités sociales au niveau régional. Le CASI Cheminots PACA souhaite, au travers du 9ème art (la bande dessinée), aborder la thématique de l’avenir et de l’évolution possible de l’univers ferroviaire. Objectif : sensibiliser les cheminots, les usagers et le public, aux différents effets de l’évolution de l’entreprise SNCF mais aussi évoquer les alternatives possibles imaginées à travers ses salariés.



Pauline Detavernier. Le marcheur de la gare. Une architecture des corps. Genève, MetisPresses, 2023, 160p - 24€


Comment l’espace affecte-t-il le corps ? Cette question est au coeur de la réflexion de Pauline Detavernier autour de la gare et des marcheurs qui la traversent. Il y a différentes façons de percevoir ces derniers : en voyageurs, en usagers, en habitués… mais aussi en tant qu’individus sensibles, clients potentiels ou «particules» d’un flot. Ces figures de la gare sont cumulatives et complémentaires, et s’articulent en un ballet au potentiel peu exploité.



Henri Dropsy, Yann Guillerm. Cheminots, traminots et employés du métro - Retrouver leur histoire. Paris, éditions Archives & Culture, 2023, 80p - 13€


Partir à la recherche de nos ancêtres du rail est une aventure passionnante, faite

de fascination pour ces hommes et femmes qui ont contribué à cette formidable épopée humaine et technologique. Que le point de départ soit des souvenirs de grands-parents cheminots ou la découverte en archives d’un ancêtre lié au chemin de fer, l’envie d’en savoir plus est toujours présente.


Or, les archives des compagnies ferroviaires sont dispersées, parfois lacunaires, l’histoire du train a débuté avec d’autres compagnies que la SNCF, très nombreuses, les métiers sont multiples, le monde du rail englobe aussi le tramway et le métro... En clair, des connaissances préalables sont nécessaires pour

comprendre cet univers et savoir où trouver des renseignements pertinents

et comment reconstituer le parcours professionnel d’un aïeul cheminot, traminot

ou employé du métro.


Pascale Germain. La vie, la voie d'une cheminote, autoédition, 2023, 218p : contacter l'auteure par mail


En octobre 1973, Pascale Germain a été embauchée à la SNCF. Quelle émotion, que de joie, un nouveau monde s'ouvrait à elle ! Du contrôle des bandes graphiques à son engagement associatif, un tourbillon de nouvelles choses, des situations extraordinaires allaient faire évoluer sa vie dans le bon sens même si quelques périodes ont été marquées au fer rouge.


Une partie des bénéfices du livre sera reversée aux orphelins de l'Orphelinat Flamand et aux blouses roses pédiatriques du centre Léon Bérard.



Louis Baldasseroni. Pavages, garages, dallages. La rue vue de Lyon, XIXe-XXe siècles. Paris, Editions de la Sorbonne, 2023, 178p - 20€


Les rues font partie de ces paysages du quotidien tellement banals qu'ils ont peu intéressé la recherche historique. Cet ouvrage propose une histoire de la rue aux XIXe et XXe siècles, à travers ses réalités matérielles : du lampadaire à l'abribus, en passant par le pavé et le bitume des chaussées, chaque élément de la rue a sa propre histoire. Ces divers éléments, combinés de manière plus ou moins intentionnelle par les techniciens et urbanistes, forment des paysages de rues identifiables à des idéaux-types qui peuvent renvoyer à des époques bien identifiées (le grand boulevard dit « haussmannien ») ou être vus comme intemporels (la petite rue résidentielle de quartier périphérique).


Fondé principalement sur des observations de rues de Lyon mais destiné à toute personne intéressée par les villes et leur aménagement, cet ouvrage propose d'éclairer le fonctionnement de l’aménagement des rues : domaine technique en apparence, politique dans les faits, avec des usagers qui s’affirment de plus en plus, obligeant les pouvoirs publics à mettre très tôt en place des espaces de concertation. Chaque rue a une histoire, souvent différente de celle d’à côté, par la diversité de ceux qui la gèrent et s’en préoccupent : l’histoire des rues est aussi une histoire sociale, faite de débats entre techniciens, de mobilisations habitantes et de choix politiques variables selon les territoires et les époques.


En remontant le temps à la recherche des rues, le lecteur pourra trouver des clés de lecture de la ville d’aujourd’hui, à travers ses paysages et certaines problématiques d’aménagement : l’adaptation de la ville aux évolutions des déplacements, l’aménagement des espaces publics ou la protection face aux nuisances des transports sont plus que jamais d’actualité.




Pierre-Marie Verchère, Frédéric Kappler. Le train dans l'invention et la vie de la Côte d'Azur. Conférence pour l'association culturelle Eileen Gray Etoile de Mer Le Corbusier, 2 septembre 2022. Palaiseau, auto-édition, 2023 - 11€


Le chemin de fer du PLM a atteint Nice en 1864 et Vintimille en 1872. Jusqu'au déclenchement de la Première Guerre Mondiale il permet aux "hivernants", touristes fortunés de l'Europe entière, de venir séjourner dans les villes du littoral qui se développèrent rapidement. Dans l'Entre-Deux-Guerres, à côté des trains de luxe qui réapparurent, le chemin de fer se démocratisa et amena de nouvelles populations sur la Côte d'Azur, l'été comme l'hiver. Et aujourd'hui, tandis que la majorité des touristes viennent en avion ou en voiture, le train est lui aussi devenu l'ossature de la vie quotidienne de nombreux habitants de la région. Les lignes de chemin de fer ont structuré l'urbanisme tandis que parfois, la ville a demandé au chemin de fer de s'adapter à l'urbanisme, comme à Monaco à deux reprises.



Karen Bowie, Le chemin de fer du canal de l'Ourcq, projets et débats 1837-1841, Presses des Ponts et Chaussées, 2023 - 50€


La période de la Restauration et de la monarchie de Juillet en France, toujours quelque peu éclipsée dans l'historiographie par les Premier et Second Empires, était marquée par des évolutions structurantes pour l'avenir - notamment et entre autres, l'avènement des chemins de fer. À cette époque où tout restait encore à définir, quelles articulations envisageait-on entre le nouveau mode de transport et les réseaux fluviaux existants, encore prédominants ?


Le Chemin de fer du Canal de l'Ourcq naît d'un projet porté par la ville de Paris pour un "train de vidanges" ; on avait à un moment envisagé que les locomotives servent à la traction des bateaux.


Ce projet limité donnera lieu à d'autres, plus ambitieux, qui suscitent de vives concurrences industrielles et des débats scientifiques et techniques animés, qui aboutiront aux choix du tracé du premier tronçon, entre Paris et Meaux, de la grande ligne Paris - Strasbourg. Ils étaient portés par des ingénieurs, inventeurs, administratifs et responsables politiques à des statuts et parcours variés, certains parmi les plus éminents de l'époque

.

Karen Bowie est historienne de l'architecture et des villes, et membre du Comité Scientifique de Rails & histoire. Professeure émérite des Ecoles Nationales Supérieures d'Architecture, elle est connue notamment pour ses travaux sur l'histoire des gares parisiennes et de leur implantation urbaine. Elle s'intéresse à l'histoire de sites ferroviaires et industriels et à la prise en compte d'enjeux patrimoniaux dans les projets d'aménagement qui les concernent aujourd'hui.



Michael Bayer, Pierre Gernez, Le Train Militaire Français de Berlin TMFB 1945-1994, autoédition, 2024 - 30€ + 5€ de frais de port : contacter l'auteur par mail

Co-écrit par Michael Bayer, Berlinois de Reinickendorf, et Pierre Gernez, ancien journaliste et germaniste, ce livre raconte l'histoire du Train Militaire Français de Berlin qui a circulé de 1945 à 1994 entre Berlin-Ouest et Strasbourg, au rythme de trois aller-retour par semaine, et ayant amené son lot de tensions internationales...


C'est une histoire ferroviaire au cœur de la Guerre froide : celle de ce convoi militaire sur rails qui traversait l'Allemagne de l'Est "sous l'œil de Moscou", contrôlé par le KGB et surveillé par la Stasi, la police politique de RDA, à l'instar des deux autres trains militaires américain et britannique.


C'est aussi une histoire humaine : celle de ce "train des Français", véritable "cordon ombilical" entre le secteur français de l'ancienne capitale allemande et l'Hexagone qui transportait ses voyageurs civils et militaires, sous l'autorité des convoyeurs du TMFB. Le récit met en lumière les "acteurs" de l'ombre de l'autre côté du "Mur" : habitants et cheminots est-allemands, officiers de l'Armée rouge et garde-frontières de RDA.


Rigueur militaire et décontraction tricolore cohabitaient dans les compartiments cossus pour officiers supérieurs et VIP et dans les voitures plus spartiates des soldats ; ou encore au chaleureux bar de la voiture-escorte !

Composé de nombreuses photographies, d'anecdotes, de témoignages et de documents rares, ce passionnant livre de 216 pages est ainsi publié 30 ans après le départ du dernier Franzosenzug de Berlin.



Thierry Bonnafous. 1856 Gare Matabiau, le train arrive enfin ! Editions Midi-Pyrénéennes, 2023, 48p - 7,50€


Le 31 août 1856, le chemin de fer arrive dans la nouvelle gare Matabiau. Le 2 avril 1857, est inaugurée la ligne transversale Bordeaux-Sète. Toulouse devient un carrefour ferroviaire entre Atlantique et Méditerranée, Massif central et Pyrénées. Des boulevards au quartier Marengo, l'urbanisation s'accélère et la gare s'embellit en s'adaptant aux progrès du trafic. Quel bilan retenir de plus d'un siècle et demi d'histoire ferroviaire et d'aménagement du territoire ? Il est plus que jamais d'actualité au moment où la gare Matabiau est lancée dans une nouvelle mutation avec, à l'horizon 2032, l'arrivée de la ligne à grande vitesse (LGV).





Didier Janssoone, Le chemin de fer en France, de la vapeur à l'électricité, Paris, Sophia Editions, 2023, 160p.


C'est en 1900 que la première locomotive "électrique" captant du courant sur un troisième rail électrique posé au sol entre dans une gare française: cela se passe à Orsay, dans le 7e arrondissement de Paris. Cette expérimentation se révélant satisfaisante, le troisième rail s'étendra peu à peu sur les réseaux de banlieue des compagnies de l'Ouest et du Paris-Orléans.Cet ouvrage décrit toutes les grandes étapes de cette mutation qui révolutionna l'exploitation technique du chemin de fer en sonnant le glas de la puissante locomotive à vapeur, si chère à l'ingénieur Chapelon, mais si dépendante du charbon et des prises d'eau.


Didier Janssoone, Formation à la sécurité ferroviaire, Paris, Dunod, 2024, 400p.


Ce manuel tout-en-un présente de façon synthétique et pédagogique l’ensemble des connaissances théoriques utiles aux métiers de la sécurité de l’exploitation ferroviaire (circulation, aiguillage, régulation, maintenance et traction). Mettant en valeur les notions clé de sécurité, il permet d’assimiler les différentes règles de circulation, d’aiguillage, de maintenance et d’exploitation des installations de traction électrique.



Roland Geffroy, Des trains pour le Trégor : Luttes victorieuses de la population trégorroise pour sa desserte ferroviaire (1968-2000), Saint-Quay-Perros, autoédition, 2011, 384p et un DVD de Michel Le Thomas "Défense de dérailler".


La desserte ferroviaire de l'Ouest-Trégor dans les Côtes d'Armor s'organise à partir des gares de Plouaret sur la "grande" ligne Paris-Brest, et de Lannion située au terminus de la ligne dite "secondaire" Plouaret-Lannion ouverte en 1881. Pendant plus de 30 ans, de 1968 à 2000, les cheminots, les élus et les militants motivés ont dû constamment rester en état de vigilance pour contrer les attaques de la SNCF qui souhaitait fermer cette ligne jugée non-rentable : tentative de transfert sur route des dessertes-voyageurs, suppressions de liaisons entre Lannion et Plouaret, suppressions d'arrêts à Plouaret, refus d'y arrêter le TGV, blocage pendant dix ans du dossier de l'électrification de la ligne Plouaret-Lannion...


Mais à chaque fois, les défenseurs du rail ont su réagir et mobiliser une population déjà sensibilisée à l'importance du service public assuré par les trains. A quatre reprises, la population du Trégor s'est dressée pour mettre en échec les projets néfastes de la SNCF qui souhaitait appliquer les plans du gouvernement.


Pierre-Alain Menant, Histoire du chemin de fer en Creuse, Limoges, Les Ardents Editeurs, 2024, 160p.


Outre le transport essentiel de marchandises, le trafic de voyageurs a rapidement animé ces voies ferrées, ponctuées par de multiples gares, emmenant notamment chaque année les célèbres maçons creusois à Paris. En Creuse, le chemin de fer a également façonné, par ses ponts et ses viaducs remarquables, les paysages vallonnés qui, pour partie, ont inspiré les photo­graphes et artistes peintres les plus prestigieux tels Claude Monet ou Armand Guillaumin.

Des bassins houillers d’Ahun au camp militaire de La Courtine en passant par la touristique et charmante station thermale d’Évaux-les-Bains, l’histoire du chemin de fer en Creuse se dévoile dans cet ouvrage à travers de nombreux documents, photographies et affiches inédits.

Au gré des fermetures de lignes, le chemin de fer, qui couvrait à la fin du XIXe siècle une grande partie du département de la Creuse, a vu ses gares condamnées les unes après les autres, pour n’en compter aujourd’hui plus qu’une douzaine encore en activité.


Bien loin des années fastes du début du XXe siècle, le réseau ferré et ses ouvrages d’art continuent pourtant de fasciner les amateurs comme les passionnés, qui rêvent d’un nouvel âge d’or du chemin de fer en Creuse.


Sous la direction de : Baron Nacima, Le Bot Nils, Detavernier Pauline. La nouvelle nature des gares, Paris, Presses Universitaires des Vincennes, 2024, 224p.

Auteur·ices : Auvray Alexandre, Baldelli Francesco, Carcano Thibaut, Cherkaoui El Salwa, El Hage Christelle, Emile Arthur, Ferretti Maddalena, Veloso E Zarate Halina, Marty Pascal, Quattrini Ramona, Sahraoui Yohan, Striffling-Marcu Alexandrina, Rezanova Arina, Riot Etienne, Tiry-Ono Corinne, Triggianese Manuela, Voiseux Noélia, Zouad Hala.


Cet ouvrage, sous la direction de Nacima Baron, Nils Le Bot et Pauline Detavernier, met en lumière un changement de paradigme à l’œuvre autour des questions de transitions écologiques et de métabolismes urbains appliqués aux gares et leurs quartiers.


Symboles et héritages d’un passé prestigieux, les gares et leurs quartiers sont désormais l’objet de stratégies d’adaptation aux changements globaux. L’ouvrage explore les procédés techniques variés engagés dans cette perspective (réutilisation des matériaux de construction pour la rénovation, intégration environnementale et paysagère, transformations énergétiques, etc.) et montre comment ces procédés associent la régénération ferroviaire au développement territorial.


 

Rails & histoire remercie chaleureusement les auteurs nous ayant fait parvenir ces ouvrages, et invite ses membres et lecteurs à venir les découvrir dès à présent au sein du centre de documentation.

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